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De nouveaux commentaires sur MAZ

Venez lire les impressions de Claude Rajotte, Paul Mills, le festival Musiqu’en nous, Richard Thorney du magazine Penguin Eggs et Marc Bolduc :

Un excellent album, folklorique, jazzé, mais en même temps bien ancré dans le 21ème siècle. Il y a 11 pièces et j’en aime… 11. —Claude Rajotte, Musique Plus, Radio-Canada

Le projet MAZ de Marc Maziade a été adopté d’emblée[et] avec la conviction qu’un nouveau genre est né tellement les sonorités proposées sont uniques —Festival Musiqu’en Nous

Un réel plaisir que d’écouter cet album. Bien enregistré, des musiciens extraordinaires et d’excellents arrangements. —Paul Mills, Millstream production

Juste quand tu penses que tu as tout entendu en ce qui concerne la musique traditionnelle québécoise, se pointe quelque chose de nouveau qui dépasse tes attentes. Dans le cas qui nous occupe, c’est un jeune homme multi-instrumentiste de Montréal dénommé Marc Maziade (d’où «Maz»). Sa mission dans le projet Télescope est d’offrir un «plus» à la musique traditionnelle : la rendre «nouvelle, moderne», ce qui en soi ne m’apparaît pas comme quelque chose de particulièrement novateur. Après tout, cela n’a-t-il pas été le but de tant de groupes québécois au fil des années? Eh bien… oui. Mais peu ont réussi à obtenir un mélange des genres aussi homogène en mêlant le jazz contemporain à la musique traditionnelle et encore moins ont produit quelque chose d’aussi écoutable et satisfaisant que ce que monsieur Maziade et sa bande de révolutionnaires ont accompli. La pièce-titre, par exemple, mêle habilement le banjo ténor et la podorythmie de Maz au violon (faisant parfois penser à Jerry Goodman), à la basse acoustique et au Wurlitzer, produisant un effet grandiose. Malgré le jeu staccato sur la guitare électrique, les digressions sur la basse, les touches de piano électriques et autres claviers, on garde toujours le sentiment que cette musique est totalement ancrée dans l’histoire musicale du Québec. Alors, oui, mission accomplie et plus encore! —Richard Thornley, Penguin Eggs
(Traduit par Véronique G.-Allard)

Un album qui est très important parce qu’il ose s’aventurer dans les eaux extérieures à celles que l’on voit dans la musique traditionnelle —Marc Bolduc, CIBL